- gravure chimique après avoir dessiné les pistes,
- gravure à l'anglaise en utilisant un cutter et un règle en métal.
J'ai opté pour la seconde méthode, moins précise mais assez rapide à exécuter, après m'être aperçu que mes vieux rubans Letraset - 20 ans d'age - ne collaient plus. Et m'attaquer à la réalisation d'un typon, à son transfert par la méthode du fer à repasser et à la gravure de l'ensemble par le mélange diabolique HCl + H2O2 + H2O un dimanche matin ne me disait rien.
Le résultat final n'est pas si mal, et devrait me faire gagner un temps précieux dans l'analyse des fonctions des différentes cartes du synthétiseur.
Une rapide analyse de sa constitution matérielle met en évidence la carte Z03, la seule à être blindée. Elle comporte cinq orifices de réglage, précision importante comme nous le verrons par la suite. Considérant qu'il s'agit de la carte oscillateur, je trace un coaxial (A11) portant un signal DC à 6V et un signal carré à 500hz d'environ 1V d'amplitude et quatre connexions allant en face avant sur la roue des 100Khz. En analysant cette signalisation, je mets en évidence un regroupement des chiffres deux par deux.
Quelques minutes de réflexion, et la lumière vient: la génération de fréquence fait appel à cinq oscillateurs couvrant chacun 200Khz. La fréquence est fixée par le signal A11: aucune oscillation en son absence et une oscillation à fréquence fixe pour la tension fixe observée de 6V.
Disposant de ces informations, je dois maintenant pouvoir remonter la chaîne et découvrir la logique de synthèse ici utilisée: une seule boucle avec un pas de 100Hz et un diviseur programmable de 0 à 1999, plusieurs boucles, un asservissement en fréquence comme sur le VFO PS-491 ou en phase comme sur les tiroirs TRC-2105 ?
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