CEI565: Redémarrage

Un récepteur CEI-565A aka Watkins Johnson 565 vient de rejoindre le shack avec deux tiroirs: un VH-103 (90-260MHz) et un VH-105 (200-425MHz). Ce modèle est légèrement différent du CEI-560 notamment dans son arrangement interne et le nombre de filtres (4 vs 3) du CEI-560.

La première chose qui saute aux yeux est l'indicateur de niveau qui a été, un jour, remplacé. Pour le reste tout est conforme. Un condensateur chimique est remplacé car bien trop dégradé. Les condensateurs Sprague de 1100µF sont dessoudés puis passés sur le LCR HP. Ils sont tous deux en excellent état et donc remontés.

Un rapide test de la résistance coté secteur met en évidence un problème sur l'interrupteur lié au potentiomètre de volume: celui-ci ne se ferme pas. Après démontage et nettoyage par noyage dans de l'alcool isopropylique du bloc contacteur - non démontable - tout revient dans l'ordre et le récepteur est mis sous tension avec succès.

Il me restera, mais cela est bien moins urgent, à trouver un vumètre similaire à l'original et à reproduire l'étiquette de référencement ici arrachée.

Prochaine étape: redémarrer un ACL SR-219 couvrant de 20 à 1000MHz par le biais de quatre tiroirs directement intégrés.

DOM501: Galvanomètre HS

Un compteur Geiger de type Actisurf DOM501 vient de rejoindre ma collection mais hélas en bien mauvais état, l'aiguille du galvanomètre n'étant pas visible et la peinture - luminescente ? - ayant l'apparence d'une "pate dentifrice"...

Le démontage permet de découvrir que le support de l'équipage mobile est cassé et que les spires arrières sont totalement oxydées. Le test de la bobine indique par ailleurs que celle-ci est coupée. La coupure n'est pas identifiable à la binoculaire comme souvent.

Une soudure à l'étain permet de reconstituer un ensemble support suffisamment solide pour, au moins, remettre en état visuel le galvanomètre. Il me faudrait maintenant trouver un galvanomètre de dimension et de sensibilité similaires.

C'est le second compteur dont le galvanomètre est hors service et non réparable - du moins avec mes moyens, le précédent étant un EKCO2...

PRC64: Fabrication d'une batterie - Suite

Il est temps de tester la batterie réalisée en 3D pour le PRC-64 et si tout va bien d'en réaliser une autre pour le copain Bruno.

Il s'agit pour mémoire d'un assemblage de 6 batteries LiPO mises en série avec une prise intermédiaire sur la première batterie puis sur la troisième afin d'obtenir les tensions requises. Le connecteur est réalisé à partir de tubes laitons fendus. Le tout est intégré dans un boitier imprimé en 3D fermé par une plaquette en époxy double face supportant le connecteur et des pastilles pour les connexions des batteries.

Ainsi alimenté le PRC64 fait bien entendre un souffle en AM sans autre test possible puisque je n'ai pas de quartz ad'hoc. Je poursuivrai ces tests après avoir approvisionné un jeu de quartz pour le 80m ainsi qu'un écouteur adapté.

Coté bloc d'alimentation chaque batterie est raccordée via un connecteur permettant de la détacher pour la recharger. Un chargeur dédié a été réalisé à partir de plaquettes à base de TP4056. Un support imprimé en 3D permet de disposer d'un bloc permettant la charge des 6 batteries depuis une alimentation 6V maximum.

 
La résistance de programmation du courant de charge - par défaut 1A - a été modifiée de manière à réduire l'intensité de charge des 6 batteries à 300mA chacune soit un courant total de 1.6A. Un capot translucide protège des plaquettes de charge tout en laissant visible les indicateurs lumineux. 

A suivre....

Meshtastic: Déplacement de l'antenne

Avec seulement deux chemins en direct tous orientés vers le Nord et collée à une cheminée, mon antenne Meshtastic n'est probablement pas installée de manière optimale. Profitant du beau temps, l'antenne a été installée plus en hauteur disposant désormais d'un dégagement à peu près complet sur 360° quoique occultée partiellement sur le bas de l'horizon Sud par la dalle de la cheminée.

Une installation probablement encore transitoire, et faite de bric et de broc, l'objectif étant de trouver l'emplacement ad'hoc sur le pylône. Le temps dira si cette amélioration permettra l'établissement de plus de chemins directs. Le prochain travail va être le nettoyage de la parabole Ubiquiti couverte sur sa surface non active de mousses.

CH-3A: Recherche d'informations

Ma collection de matériels cryptographiques s'est enrichie de quelques nouvelles machines dont ce qui ressemble à un chiffreur télégraphique en ligne utilisant une bande perforée 'une fois' ou one time pad. Le problème rencontré est que je ne trouve aucune information sur cet équipement identifié 'Equipement cryptographique CH-3-A' datant des années 1950 et produit pour l'armée Française par Olivetti.

Le panneau avant fait clairement apparaitre qu'il s'agit d'un équipement intermédiaire entre une ligne télégraphique et un téléimprimeur. La présence d'un seul lecteur de bande 5 moments et d'un commutateur clair/chiffré conduit à penser à un chiffrement de type 'Mixer' en ligne.

Le panneau arrière portent deux connecteurs qui ne semblent pas d'origine, chacun marqué d'une couleur indiquant probablement la nature du réseau associé: clair ou protégé. L'étude du câblage permettra probablement d'en savoir plus.

L'étiquette d'identification confirme que cet équipement date du début des années 1950 (date du marché) sans autre information que la référence 'CH-3-A'. Une rapide analyse de la constitution met en évidence l'absence d'au moins deux éléments: une carte enfichable peut-être identique aux deux cartes 'bascules' à tubes ainsi qu'un assemblage de forme étonnante contenant semble-t-il un circuit à transistor comme les autres assemblages encore présents. Curieux mélange ...

Pour le reste, et hormis la motorisation du lecteur, six relais sont présents dont le rôle reste à préciser. Je lance un appel à toute personne qui auraient pu connaitre ou travailler sur cet équipement pour m'aider à le remettre en état de fonctionnement.

Meshtastic: Installation et test

Le passage au salon Hamexpo 2025 m'a permis de discuter sur le stand de 'Gaulix', une communauté de passionnés de technologie qui tentent de mettre un peu d'organisation dans le monde des réseaux Meshtastic, dont en particulier la configuration et le nommage des noeuds. Ceci m'a conduit à ressortir ma carte Lilygo T-Beam Lora. J'avais déjà utilisé une carte en 433MHz comme récepteur PocSag mais la version T-Beam est bien plus performante.

Si l'installation du firmware Meshtastic dans sa version alpha 2.7.11, effectuée via le mécanisme  en ligne 'flash.meshtastic.org' n'a pas posé de problème, il n'en n'a pas été de même avec la configuration. L'environnement ESP32 ne permet en effet pas de disposer d'un accès simultané aux réseaux Wifi et Bluetooth. Ceci impose de jongler en la configuration Bluetooth bien utile pour charger les paramètres spécifiques de Gaulix et le Wifi pour optimiser les accès en mode installation fixe. Un boitier dédié est imprimé en 3D qui permet d'installer l'équipement dans le shack.

Mon objectif est en effet de disposer d'une bulle locale gérée par ce point d'accès. Une modification a donc été apportée à la carte d'origine pour l'alimenter sans utiliser le connecteur USB. Une antenne ad'hoc a été installée sur le toit à coté de la parabole Ubiquiti de la liaison Hamnet. Ce positionnement autorise un dégagement sur un point haut couvrant l'ile-de-france d'Est en Ouest.

La configuration réseau utilise une adresse IP fixe afin de pouvoir accéder au nœud à distance moyennant la configuration ad'hoc de l'accès Internet.

Les premiers essais avec la configuration Gaulix en radio pure - donc hors connectivité MQTT Internet - ne sont pas concluant, aucun nœud avec cette configuration n'étant présent dans le voisinage. J'ai donc modifié la configuration Lora en conservant le nommage conforme à la préconisation Gaulix pour rejoindre le réseau de l'Ile-de-France sur 869.3MHz (https://wiki.mesh-idf.fr/) avec succès cette fois-ci. Trois nœuds distants de 10km apparaissent dans mon voisinage ceci sous une pluie battante.

Un script PowerShell me permet de recharger l'une ou l'autre des configurations via le client python et des fichiers Yaml. Une expérience à suivre sur le long terme.

Mise à jour de 19:00

Quelques 60 nœuds sont désormais visibles dont deux à portée radio directe, 6 à un saut et les autres entre 2 et 5 sauts. Ma situation géographique et la visibilité sur l'horizon m'amènent à considérer passer en mode 'client' voire 'routeur'. A suivre.

AR3000: Connexion au SDU5000

Le panoramique SDU5000 étant réparé, je me suis attaqué à la modification de l'AR3000 donné par mon ami Bruno pour lui ajouter une sortie FI à 10.7MHz et une commande de l'AGC comme cela est indiqué dans la notice publiée par AOR(UK). Le plus difficile est le repérage des points d'intervention, les photos de la notice n'étant pas très précises.

Un condensateur et une diode plus tard les modifications sont effectuées et le perçage du panneau arrière terminé. Les interrupteurs à glissière servent à sélectionner l'un des deux bancs de mémoire (interrupteur du haut) et à activer la télécommande (interrupteur du bas).

La BNC basse est la sortie 10.7MHz, l'inverseur permettant de modifier la CAG en position basse pour l'utilisation avec le SDU5000 comme cela est suggéré dans la notice de modification. Le connecteur d'alimentation - spécifique - a été remplacé et un masque imprimé en 3D.

Après raccordement, l'ensemble fonctionne parfaitement - ici la bande FM avec 5MHz de bande d'analyse - mais le mécanisme de télécommande de l'AR3000 est inactif, le protocole utilisé n'étant reconnu que par l'AR3000A ou l'AR5000. Il me faudra reprendre le réglage de l'écran TFT pour utiliser la totalité de la surface active.

SDU5000: Affichage de remplacement définitf

L'affichage d'origine du SDU5000 étant hors service, son remplacement par un afficheur TFT de 3" a été tenté avec succès hormis le fait qu'il ne s'agissait pas d'un format 4/3. Le bon format étant arrivé, un support a été réimprimé puis installé sans aucun problème.

Il m'a fallut modifier le modèle original du support, la carte électronique étant plus petite et la disposition de la nappe différente. La connectique est, elle, identique. Les deux maquettes sont présentées ci-dessous cote à cote.

Le résultat est absolument parfait et permet de remettre en service ce petit panoramique à même de directement piloter un AOR3000A, moyennant l'adjonction d'une sortie FI sur ce dernier.

KY57: Interface de liaison HYX-57

Le codeur voix KY57 était destiné à coder la voix mais aussi la donnée sur des liaisons radio, manpack PRC-77 par exemple, mais aussi sur des liaisons filaires par l'intermédiaire du boitier HYX-57.

L'étiquette de cet équipement porte la mention TSEC (Telecommunication Security) sans mention de niveau de sécurité ce qui semble normal, l'équipement assurant seulement le transfert d'informations (voix ou données) chiffrées.

La conception mécanique est robuste mais rend l'équipement assez lourd. Ceci étant cet équipement est censé être à poste fixe contrairement au codeur KY57 pouvant être associé au PRC77 tous deux portés à dos de fantassin.

Les cartes électroniques ont été conçues pour résister aux chocs et vibrations avec des composants de très haute qualité: condensateurs au tantale CTS13, multiples relais Teledyne, maintien des composants lourds ... On notera que très peu de composants portent leur référence d'origine.

KW7: Unité de déport

La machine à chiffrer KW7 - que je n'ai malheureusement pas dans ma collection - est assez imposante et devait être installée dans une pièce sécurisée. Bien souvent les équipements de transcription devaient être installés ailleurs et plus près des destinataires.

Photo Cryptomuseum

Le panneau de commande - visible sur la partie basse de la machine - peut ainsi être déporté sur une console dédiée 'KWX7'. 

Ce boitier ne contient rien d'autre que le raccordement de chacun des contacts et voyants mais avec un blindage et de nombreux filtres destinés à  atténuer le rayonnement des signaux. Gageons que les câbles de raccordement devaient être lourds ...

En l'absence de la machine à chiffrer, ce boitier n'a guère d'intérêt hormis peut-être l'étiquette rappelant que ces matériels étaient sous la responsabilité de la célèbre NSA.

L'étiquette jaune laisse à penser que ce boitier puisse avoir été utilisé en Allemagne par le Bund et/ou dans l'une des bases américaines présentes sur le territoire.

RACAL: Codeurs voix MA-4014 et MA-4204

Les codeurs de voix MA-4014 et MA-4204 sont très semblables au nombre de combinaisons près. Ils partagent par ailleurs une logique très similaire à celle du codeur MA-4224 comme je l'avais déjà étudié ici mais sans disposer d'un exemplaire de ces deux équipements.

Hormis le nombre de sélecteurs, la seule différence que j'ai pu noter concerne la carte logique et son circuit spécialisé ainsi que la présence d'un commutateur OFF/FM sur le MA-4014.

 

MA-4014                                                                                    MA-4204

Ces deux matériels ont l'avantage d'être très simples de mise en œuvre (sélection du code via trois/cinq boutons rotatifs)  contrairement au modèle MA-4224 (entrée du code via un clavier).

Je reste particulièrement impressionné par la conception mécanique de ces matériels Racal, lesquels ne font appel à aucun connecteur entre carte tout comme d'ailleurs le magnifique récepteur RA-1772. 

Ceci renforce notamment la fiabilité du matériel dans des conditions d'exploitation complexes au détriment cependant de solidité du câblage s'agissant d'un matériel qui pourrait chauffer. Ce n'est pas le cas ici contrairement au récepteur RA-1772 dont les isolants des câbles ont tendance à se désagréger a proximité des radiateurs de l'alimentation.

WJ8640-3: Mise sous tension et test

Encore un magnifique équipement provenant de chez Roger sur lequel j'avais quelques incertitudes quand au fonctionnement. Il s'agit d'un récepteur WJ8640-3 (V)HF portable de chez Watkins-Johnson reprenant la conception des autres appareils des années 80 à savoir: tête (V)HF interchangeable, modules purement analogiques hors le fréquencemètre.

Le verrouillage de la fréquence - inévitable du fait d'un oscillateur libre - utilise ici le compteur de ce fréquencemètre (DAFC) comme beaucoup d'appareils de cette époque.

Son alimentation se fait en 15V avec la batterie  et le bloc support (CY-2562) utilisés par les PRC-77 et PRC-25. Ne disposant ni d'une batterie ni d'un bloc support, j'ai réalisé un connecteur avec deux morceaux de tube laiton au bon diamètre et un support imprimé.

J'ai été étonné de ne trouver aucun résistance ou tension de seuil sur les points d'alimentation quand le schéma du manuel de la version 8640-1 montre que cela aurait dû être le cas. Le démontage du convertisseur DC/DC et le tracé du rail d'alimentation ont montré que tout était correct. Une mise sous tension avec limitation de courant a donc été initiée sans problème. Une rapide comparaison avec le schéma de la version 1 montre que le bloc DC/DC est d'une conception plus récente (utilisation de régulateurs). La fiche d'alimentation en façade a été remplacée par une sortie BCD.

Le poste fonctionne parfaitement avec une consommation d'un peu moins d'un ampère et une excellente qualité de réception. Je trouverai peut-être un jour le bloc support de batterie, les deux têtes complémentaires ainsi que l'analyseur de spectre.

SFOM: Collimateur Type 101

La SFOM - Société française d'Optique et de Mécanique - m'était connue comme fabricant de projecteurs notamment de diapositives que mes parents utilisaient dans les années 65. J'ai découvert une autre facette de cette société avec ce collimateur d'aviation dit 'Type 101', lui aussi ramené de chez Roger.

Un bon nettoyage de la caisse, du collimateur et la réfection du support du viseur assez rouillé ont été nécessaires, ce matériel ayant dû être stocké tel quel depuis les années 60. Deux bouchons de protection des optiques ainsi qu'une boîte à lumière - ici visible à gauche - ont été réalisés en impression 3D.

Le résultat est assez intéressant mais je me pose le problème de la qualité de la collimation avec une seule référence sans alignement. Il va falloir que je creuse ce domaine qui m'est totalement inconnu. On notera que le réticule projeté est bien plus fin que sur la photo ci-dessus, le viseur n'étant par ailleurs pas réglé.

L'ensemble prend place dans une boîte en bois, avec ici trois miroirs de rechange et une fixation en queue d'aronde, ici démontée. Il doit manquer quelques accessoires mais aucune documentation n'a pu être trouvée pour ce viseur hors quelques mentions intéressantes sur le site 'avions de la guerre d'Algérie' au chapitre '41 - Armements des aéronefs -4- : Le Bombardement : les Bombes - Le blog de Avions de la Guerre d'Algérie'. Il y est notamment dit: 

Les avions légers armés auraient été équipés de collimateurs divers. Pour les T-6 il semblerait qu’au moins au début les collimateurs aient été des SFOM type 83 ou 83A, même chose pour les SIPA mais dans les documentations de 1950 pour les MS 472/474, les avions de 1 à 11 étaient équipés de SFOM type 101, puis à partir du 12 avec des « Revi 16b » (un collimateur d’origine allemande). Mais en 1950 ces appareils n’étaient encore que des avions d’entraînement à la chasse donc ces collimateurs ne servaient qu’au tir de chasse. Dans le cas du SFOM 101, un rhéostat était ajouté sur la planche de bord, en haut à droite pour le tir de nuit.

On y trouve aussi quelques planches reproduites ci-dessous provenant a priori de la documentation technique SFOM.

    

   

Malafon: Redémarrage du gyroscope

Le 'Malafon' est un missile lance-torpilles conçu dans les années 60 selon un concept assez révolutionnaire puisque la torpille est portée par un berceau disposant d'ailerons et propulsé par un moteur fusée. J'ai eu la chance de pouvoir récupérer un gyroscope utilisé par ce système chez Roger.

  Les étiquettes présentes indiquent une fabrication en 1969 et une dernière maintenance en 1988.

 

Une fois démonté le gyroscope fait apparaitre une cage moulée et usinée portant les deux berceaux du gyroscope engagé dans une sphère en métal léger. Un mécanisme permet de verrouiller les cages depuis un axe extérieur. Un solénoïde permet de les libérer une fois le gyroscope lancé. 

Il m'a fallu retracer les différentes connexions pour identifier le câblage du connecteur. Le moteur du gyroscope est alimenté par trois fils, donc du triphasé. Deux potentiomètres permettent de déterminer la déviation sur les deux axes.

Une fois relevées les connexions et les points d'alimentation, le gyroscope est connecté sur mon alimentation 400Hz triphasée d'abord en 26V puis en 110V. Et sans surprise, le moteur se met en marche pour atteindre sa vitesse de fonctionnement.

Une opération réussie et un gyroscope de plus dans la collection.